Giovanni Porreca
Giovanni commence sa formation musicale à 14 ans au Conservatoire de Fribourg où il étudie le piano dans la classe de Michel Jarrez.
Deux ans plus tard, quand le virus de la musique commence a prendre place dans son organisme, Giovanni décide de s’inscrire aux cours de batterie de Franco DaRozze à la Swiss Jazz School de Berne.
C’est durant cette même période qu’il débute sa carrière de musicien professionnel en jouant, comme batteur d’abord et comme clavieriste ensuite, dans de nombreux dancings et cabarets suisses et européens.
L’époque du bal se termine en 1991, et il se déplace à Luino (IT) où il travaille pendant deux ans comme sound-designer dans le Studio 59 avant de s’établir à Lausanne pour reprendre ses études musicales.
En 2001 il obtient le diplôme de pédagogie musicale (Conservatoire de Lausanne) ainsi que le diplôme instrumental de piano auprès de l’Ecole de Jazz et de Musiques Actuelles (EJMA), où il a perfectionné son jeu grâce à des workshops avec des musiciens tels que Richie Beirach, Kenny Werner, Ray Anderson, Efrain Toro, Rique Pantoja, Enzo Todesco, Daniel Humair, Gerry Allen, Enrico Pierannunzi.
Fraichement diplômé, il se lance dans l’enseignement du piano et de la théorie musicale. Il travaille à l’EJMA de Lausanne (1999-2002) et à la Maison de Musique de Pully (2000-2006) avant de fonder avec Vincent D’Altilia et David Longo l’école et le studio d’enregistrement Le Son à Cortaillod, où il travaille actuellement sous le nom de G-records, music school & recording studio.
Entre 2004-2005 il collabore avec Henri Dès au remake de ses chansons pour le Japon.
Toujours actif comme musicien de scène et arrangeur, Giovanni a notamment joué avec Jerôme Thomas, Marc Erbetta (Erik Truffaz, Henri Salvador), Ivor Malherbe (Thierry Lang 3io, ZEM), Pierangelo Crescenzio (DJ Bobo) Julien Feltin (Liane Foly, Vautours), Laurent Biollay (Sens Unik, Stress), Pierre Kuthan (Elkee, Ouizzz), Marco Giovannetti (A Few Good Man, Mo’Bop, B-Connected), Radio Ganassa (Roberto Titocci, Pierre Kuthan, Oliver Frei), Thibault («Marcher sur les murs»).